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Refus d'enquête
28 novembre 2012

La psychologie du tueur

Le conditionnement du futur tueur

Il n'est pas possible, pour qui que ce soit, de décider facilement d'exécuter quelqu'un, sans s'y être « conditionné ». (En excluant quelques cas tels que les accidents, les bagarres qui dégénèrent.)

Le conditionnement consiste pour le futur tueur à se préparer psychologiquement afin qu'au moment de passer à l'acte il n'ait pas de remords qui remettraient tous ses plans en question.

Un conditionnement psychique normal prend plusieurs mois. L'esprit du futur tueur doit pendant cette période évacuer toute alternative au meurtre : le tueur sera prêt quand son esprit croira qu'il n'existe pas d'autre alternative.

Il existe cependant de très nombreux cas de conditionnement qui ne sont nullement une préparation à commettre un crime : un étudiant se conditionne pour se concentrer lors des examens, un commercial se conditionne pour augmenter ses chances de vendre, une personne adultère se conditionne pour ne pas être découverte, un homme politique se conditionne pour ne pas que ses défauts transparaissent, etc, etc.

 

Les tentatives de conditionnement de mon épouse

Je vois des tentatives de conditionnement de mon épouse. Mais ce conditionnement est-il normal, ou peut-il relever de pires intentions ?

J'ai bien analysé mon épouse à ce sujet. Quand dès le mois de juin 2011 elle annonçait qu'elle allait me tuer ou tuer les enfants, elle n'était pas trop crédible car ses déclarations émanaient plus d'une colère (même si cette colère était froide) ou d'un chantage. Elle n'aurait rien fait de mal.

En revanche, quand elle répétait régulièrement qu'elle allait mettre fin à nos jours, alors son conditionnement psychique commençait. Si on ne lui présentait pas d'alternative à ce qu'elle annonçait, alors il est vraisemblable que la situation allait s'empirer.

Une des alternatives a été la convocation au commissariat pour écouter sa déposition. Cette convocation lui a permis de sortir de cette spirale, puisqu'elle-même a été forcée à expliquer qu'elle ne pouvait pas tuer ses propres enfants. Et ses explications ont continué auprès de son entourage. S'il y avait un début de conditionnement, celui-ci a été coupé.

Durant cette période, vers février à mai 2012, elle s'est mise à boire, quelques fois elle parlait de suicide, et ressassait sa situation.

 

La situation réelle de mon épouse en grosse contradiction

Notre situation réelle était simple : depuis plus de six mois je demandais le divorce, auquel s'opposait fortement mon épouse, prétendant qu'elle voulait rester à tout prix avec moi (elle évoquait elle-même de pouvoir tuer pour éviter toute séparation).

Nous sommes passés devant le Juge aux affaires familiales en juin 2012, une ordonnance de non-conciliation, étape décisive du divorce, a été rendue. Mais ni mon épouse ni moi-même ne l'avons signifié à l'autre, malgré nos deux avocats respectifs qui poussaient fortement en ce sens. (Nous avons des raisons différentes : pour ma part je veux désamorcer tout risque qu'elle tue mes enfants et je veux un règlement de l'affaire de l'enlèvement, fait décisif dans la décision finale d'un divorce pour faute, et quant à mon épouse, elle persiste à ne pas vouloir divorcer... qu'attend-elle d'un homme qu'elle ne supporterait plus ?)

Je constate chez mon épouse une grosse contradiction entre ses affirmations de ne plus me supporter depuis 2011 (au point où elle casse des meubles et me chasse de chez moi), et en parallèle de freiner notre divorce...

Qu'y a-t-il derrière ? Je n'ai cette fois pas de preuve, mais de gros soupçons qu'elle espère mettre la main sur un bien immobilier appartenant à ma grand-mère. Cette hypothèse n'est pas réaliste car il faudrait que plusieurs d'entre nous décèdent, et une enquête se ferait, j'espère, contre mon épouse. Mais elle a tellement de culot, d'imagination (cf l'histoire du rapt, et je n'écris pas tout !), même erronée, que je sais qu'elle espère ma disparition : un accident, un prétendu suicide (la police serait très contente d'éviter d'avoir à enquêter)...

Les biens de ma famille reviendraient à mes enfants, qui ont 5 et 7 ans. Et avant leur majorité, ce sera mon épouse qui en aura la gestion.

Nos quatre enfants ont tous eu des livrets « A » ouverts, sur lesquels la famille ou nous-même déposions de l'argent à diverses occasions. Or, depuis 2010, je me suis aperçu que mon épouse allait se servir sur le compte des enfants, jusqu'à les vider, et sans que nous, au niveau familial, ayons eu besoin d'argent (nous vivons difficilement, mais pas au point de prendre l'argent des enfants).

Cette attitude, qui consiste à vivre au mépris de ses propres enfants va me reforcer dans l'idée qu'il est possible qu'un drame soit en préparation.

 

Les différents conditionnements de mon épouse

J'expliquais précédemment que pour pouvoir tuer quelqu'un, il fallait se conditionner mentalement :

- 1 - se cacher l'existence de solutions au problème (le divorce serait une solution, mais mon épouse le refuse),

et - 2 - imaginer une fin qui serait le moins tragique, même pour le propre esprit du tueur.

Pour le point numéro 1, se cacher l'existence de solutions, ceci a commencé : durant le premier semestre 2012 mon épouse buvait et se rendait constamment chez des personnes connues pour divers trafics. Elle s'opérait un bourage de crâne, qui lui faisait croire qu'il lui était impossible de continuer à vivre avec moi. Son conditionnement avait commencé par supprimer au fond de son esprit la possibilité du divorce, pourtant salvateur.

J'ai désamorcé cette situation par des films que je prennais d'elle rentrant saoûle à la maison, et parfois s'en prenant aux enfants. Je lui montrais ces vidéos le lendemain, mon but étant qu'elle arrête. Puis j'ai introduit devant le Tribunal (JAF) une requête en mesure de protection, ce qui lui a produit un nouveau choc.

Quant au point numéro 2, imaginer une méthode qui atténuerait l'action, je continue malheureusement à voir plusieurs situations qui lui permettent de se dédouaner d'un drame. Plusieurs situations s'offrent à mon épouse.

  • Les empoisonnements, car on ne voit pas la personne directement mourir, et les remords, s'ils interviennent, sont inopérants car tardifs.
  • Que je reçoive un coup de couteau un soir, et que mon épouse me mette, une fois que je suis mort, un autre couteau entre les mains pour prétexter une légitime défense. (Contre cela, quand je vois la tension monter, je quitte tout de suite la maison et pars me réfugier chez ma famille.)
  • Une accusation de sorcellerie, monnaie courante en Afrique, permettraità mon épouse de se dire qu'il n'existe pas d'autre choix que ma mort pour tuer un prétendu démon qui m'habiterait.
  • Que mon épouse me considère comme un obstacle à sa propre vie, à cause du risque qui pèse sur elle quant à l'affaire du faux enlèvement
  • ...

J'essaye de me débrouiller tant bien que mal contre ces hypothèses (et je garde égalemement à l'esprit que peut-être il n'y a pas de risque). Cependant un dénouement de l'histoire de la fausse rançon pourrait être la solution la plus solide : l'arrestation et le jugement de mon épouse avant que d'autres drames se préparent...

 

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  • Depuis plus d'un an, je vis l'enfer d'être menacé de mort, moi-même et mes enfants, par mon épouse. Celle-ci a déjà fait preuve de violences. La police, la justice sont au courant, mais se taisent, voire...
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